Suivez les 10 conseils

Retrouver les 10 conseils inévitables pour commencer à arrêter de fumer !

01

Vouloir, au moins, essayer de se lancer dans cette aventure !

Vous allez me dire, je vous entends déjà, il faut la VO-LON-TE ! Oui, il en faut un minimum, bien sûr…

Mais c’est comme pour faire un gâteau, un fiadone par exemple… Si vous n’avez QUE du brucciu, vous êtes mal parti… Vous allez aussi avoir besoin d’œufs ou encore de sucre. Eh bien, pour arrêter de fumer, vous aurez besoin de bien plus que de la volonté. Mais ne soyez pas inquiets, ça va le faire, Libertabac va vous donner pleins de clés et d’outils !

02

Mobiliser toutes les qualités qui peuvent vous être utiles.

On est encore dans la recette. Vous aurez besoin de courage (un peu quand même) de persévérance, d’organisation, d’intelligence, d’imagination, de bonne humeur, … La liste est infinie. Vous avez du mal à définir les vôtres ? Tapez « liste des qualités humaines » dans n’importe quel moteur de recherche, vous en trouverez des centaines ! Sélectionnez-en juste 10 qui vous correspondent, ça suffira ! Vous les mettrez au service de votre arrêt du tabac !

03

Savoir pourquoi vous voulez arrêter de fumer.

Formulez la réponse ainsi : « je veux arrêter de fumer pour… » et pas « je veux arrêter de fumer parce que… » C’est important parce que vous allez identifier votre but, et qu’il sera obligatoirement positif. Ben oui, on n’arrête pas pour aller plus mal…

Ça donne : « je veux arrêter de fumer pour avoir un meilleur souffle » au lieu de « je veux arrêter de fumer parce que je tousse dès que je fais un effort ». 

C’est plus sympa, non ?

04

Identifier vos dépendances, pour trouver les bons outils.

Il y en a 3, pour plus de détails, voir ici. La cigarette, c’est comme un couteau Suisse, elle fait tout ! Qu’on soit en colère, triste ou inquiet, c’est toujours elle la solution !  Mais quand elle ne sera plus là, il faudra bien la remplacer, et là, il vous faudra tout un tas d’outils différents. Vous comprenez bien que votre outil « anti-colère » ne vous sera d’aucun secours si vous êtes triste. C’est comme vouloir visser avec un marteau…

05

Accepter de changer vos habitudes.

Il y a beaucoup de cigarettes qu’on fume de manière très rituelle, à la même heure, au même endroit, avec les mêmes gens. Faire les choses différemment, dans le désordre, c’est un atout. Par exemple, boire son café dans une pièce ou vous ne fumez pas, quitte à le boire dans votre chambre, même si c’est bizarre… Tout ce qui sera bizarre mettra un obstacle bienvenu entre la cigarette et votre cerveau.

06

Vous équiper de substituts nicotiniques.

Ce n’est pas obligatoire, et je vous en parle plus en détail ici, mais vraiment, c’est une super aide. Les problèmes d’irritabilité, d’anxiété, de tristesse, les troubles du sommeil, de l’appétit ou de la concentration sont des signes de manque physique de nicotine. Ils peuvent être atténués, voire supprimés, par la nicotine de substitution.  Il en existe sous tant de formes différentes, (comme patchs, gommes, pastilles, comprimés à fondre sous la langue, inhaleur ou spray), que vous en trouverez bien une qui vous conviendra. Ils doublent les chances d’arrêt et sont remboursés par la sécurité sociale (renseignements sur ameli.fr). Je vous les présente plus en détails ici.

07

Informer votre entourage.

Pas forcément tout le monde, mais au moins une ou deux personnes, qui pourront vous épauler, vous encourager à continuer quand vous aurez envie d’abandonner. Vous pouvez aussi faire votre « comming out » en le criant sur les toits, pour certains, c’est un garde-fou très efficace. Vous pourrez ainsi bénéficier de leur bienveillance. Normalement, parce que parfois on entend « Encore tu arrêtes de fumer ?! Et tu crois que tu vas y arriver, cette fois ? » Bon, dans ce cas, laissez glisser…

08

Prévoyez de vous offrir des récompenses 

Au bout d’une semaine, un p’tit restau ? Un soin du visage ? Un vêtement ?

Au bout d’un mois, de deux mois ? C’est important, ça vous donne un but supplémentaire, une image mentale tentante pour faire face aux envies de cigarette qui ne manqueront pas d’arriver.

09

Acceptez de faire des efforts, de résister.

Avoir un déclic, ça peut toujours arriver, tant mieux ! Mais ce qui fonctionne encore mieux, c’est de se mettre « dans le match », et de résister. Au début c’est dur, comme quand on commence un nouveau sport ou qu’on apprend une nouvelle langue. Mais à force de répétition, ça rentre !

Sachez aussi qu’une envie de cigarette, appelée pulsion ne dure en moyenne que 3 – 4 minutes avant de disparaître. Tout ce qui peut vous occuper la tête et les mains pendant ces 3 minutes est bon à prendre : lecture, musique, jeux, puzzles, coloriages, bricolage, couture ou tricot, réseaux sociaux… Faites votre propre liste de ce que vous pouvez faire avec plaisir en 5 minutes chrono.

10

Choisir une date…. Ou pas !

Pour certains, c’est un système qui marche bien. On choisit un lundi, ou le premier du mois. Ou une date qui fait sens : un anniversaire, un emménagement dans un nouveau logement, un départ en vacances ou un changement de travail.

Pour d’autres, plus la date approche, et plus ils stressent. C’est assez normal, tant que vous arrivez à vous lancer à la date prévue. 

Par contre, si vous repoussez toujours, demain… la semaine prochaine… alors, choisissez d’arrêter en douceur et passez par la réduction de consommation. Vraiment, si vous ne vous sentez pas capable d’arrêter d’un seul coup, l’arrêt progressif est une bonne manière de commencer.

Et bien sûr, appelez Libertabac !

Étant moi-même ancienne fumeuse, je sais par quelles galères pour pensez devoir passer. En réalité, tous les arrêts du tabac ne sont pas des traversées de l’enfer. C’est toujours un voyage intéressant, où on prend conscience de nos capacités, que l’on découvre souvent plus importantes que ce que l’on pensait.

Et il existe des solutions pour vous permettre de le faire dans un relatif confort, c’est vraiment ce que je veux vous transmettre : du confort et des astuces concrètes pour traverser les moments difficiles